Vald — Neo
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Текст Vald — Neo
Un, deux, trois, quatre, cinq, six
Je sors de la Matrice
— Il me semble entendre quelque chose
Sept, huit, neuf, dix, onze, douze
J’suis à poil sous ma blouse
— Comment comptiez-vous réclamer l’titre ?
— Ah… eh bien, je pensais disparaître pendant quelques temps et faire semblant d’arriver d’Australie
Gros, j’en ai marre d’être blessé
Tu t’prends pour un mac, j’te méprise même tête baissée
J’vais t’laisser dans une marre de pisse, prie Anubis pour les bénéfices
Meurs dans une veste Levi’s, vrai pédé, allez, allez, peace
J’ai les meilleurs projets pour ton âme
(- Non, y’a pas d’quoi s’affoler)
Les êtres humains ont l’amour ou l’ont pas
À l’heure où l’on parle, j’ai la saveur de onze balles
J’ai d’la valeur, j’ai la chaleur de onze barres
(- Il faut croire que la poudre était d’mauvaise qualité)
J’réponds à toutes les questions, comme sur Fréquenstar
Y’a pas la place pour toute ma personnalité sur ton putain d’étendard
T’es vantard, t’es dans ta matrice qu’est en panne
Les lampadaires, rigole, rigole, rigole, rigole, t’es rrant-ma
Le poème est bre-som, mesdames et messieurs, j’fais pas la leçon
J’ai perdu l’émotion, j’ai perdu la notion, j’faisais juste mes lacets
Oui, Jean d’Ormesson, j’le-rou du me-se, j’lis pas l’résumé
Innocent présumé, la concu’ exhumée
J’ai l’regard aigu, j’attends patiemment l’heure de la bévue
Que rêvais-tu ? Mon corps a vécu, mon cœur est vétuste
Je suis sous l’emprise de la Méduse, on parle à mes vues
J’suis tellement loin, comme fumeur de laitue
Hey, tu vas finir comme tumeur, le sais-tu ?
Je fais plus, et je crée comme Alexander le fœtus
Toi, tu lèches le fémur d’Lefébure, hey, et t’en meurs
Étant jeune et têtu, j’ai fait du rap, et les thunes étaient nulles
Maintenant, Vald, c’est l’élu, c’est l’élu
Neo, Neo, Neo, Neo… oh non…
Un, deux, trois, quatre, cinq, six
Je sors de la Matrice
Sept, huit, neuf, dix, onze, douze
J’suis à poil sous ma blouse
Tu bosses pour l’boss qui bosse pour un autre boss
Mais l’boss du boss du boss s’en branle fièrement
Moi, cette pensée m’saoule, du coup, je postule jamais
J’garde mon costume noir sous l’lit, ou les enterrements
Les trucs posthumes, quoi ? J’suis comme : «Oh, tu m’vois ?»
C’est bien, et, oh, tu m’vois plus, là, c’est optimal
J’sais être aux petits soins quand faut l’être, mais y’a des porcs
Qui s’invitent pour mettre leur p’tit poing dans nos mères
Du coup, j’suis sur mes gardes, putain, j’suis sûr d’mes gars
Ces putes trépassent, j’les buterai facilement (Venez, un p’tit détail…)
C’est pas qu’un jeu d’Blancs, les assonances
C’est pas qu’un jeu d’Noirs, les Assédics
Un, deux, trois, quatre, cinq, six
Je sors de la Matrice
Sept, huit, neuf, dix, onze, douze
J’suis à poil sous ma blouse
Oh, oh, oh, un triomphe… voilà…
Tu bosses pour l’boss qui bosse pour un autre boss
Mais l’boss du boss du boss s’en branle fièrement
Moi, cette pensée m’saoule, du coup, je postule jamais
J’garde mon costume noir sous l’lit, ou les enterrements