Lacrim, Werenoi — Senor de los Gallos

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Un saludo para todos
Desde Jalisco, locos
Aquí arriba El señor de Los Gallos
El Patrón
El señor Mencho

Y a les faux, y a les vrais, le miroir, le maquillage, j’pardonne pas, j’fais semblant d’oublier sous pillave
J’arrive, 10 balles de sape, en 307 Break, comme la perle dans l’coquillage (carré)
Beaucoup d’hypocrites que j’entends, que je vois, j’pénave pas, faut dire c’qui est
T’as les naseaux qui font skizer, au sommet d’la montagne, t’es pas parti skier
Vends pas si t’as pas les épaules, tu vas manger une douille et un calibre
Ne fais pas l’caïd, on monte chez toi, rasé comme Rédoine Faïd
Grande famille d’gayas, j’veux manger du canard donc faut faire d’la caillasse
J’suis dans l’resto à Gamma, huit pièces de kamas, tamponnés «Dallas» (carré)
Elle bosse à Odalys, il s’prend dans l’anus, il s’fait pas d’fist
Elle traîne en Suisse, après, vers Nice, j’lui fais pas d’fils

Je mets le pied dedans, on fait pas la guerre pour un billet d’cent (ouais)
Toujours une place assise, 30 B levés sur la table à 6 (c’est carré)
Comme Mona Lisa, j’t’ai à l’œil, j’te guette de tous les angles
T’as fait l’sicario, mais t’es reparti les pieds devant (c’est carré)

Je mets le pied dedans, on fait pas la guerre pour un billet d’cent (ouais)
Toujours une place assise, 30 B levés sur la table à 6 (c’est carré)
Comme Mona Lisa, j’t’ai à l’œil, j’te guette de tous les angles
T’as fait l’sicario, mais t’es reparti les pieds devant (c’est carré)

Puro cuatro letras, puro pa’delante, locos
Mis amigos, mi compa, seguimos creciendo, saludos al 0-1
El señor de Los Gallos, el mero Jefe

Que la juge me la suce, ce matin, j’sors de Fresnes, 3 potes m’attendent dans l’RS4
On va tout ken, l’ami, suffit pas de jacter, sur l’terrain, faut tenir le cap
À 2 sur la bécane, à 6 dans le jet, on part à Milan juste pour manger des pâtes
Petit fils de pute, t’amène ta pute à Phuket, sur ma mère tu vas payer tes dettes
C’est l’94 et l’93, c’est nous qu’tu vois dans les rues colombiennes
(Ah gars) Bien sûr qu’on a la meilleure, c’est pour être sûr qu’tu reviennes
De ma terrasse, je vois le monde (ouais), c’est les couilles, c’est pas le nombre (ouais)
T’as d’l’or, tu sais pas le fondre (ouais), le prix d’ta maison, c’est ma montre (ouais)
Appelle l’OPJ, t’es qu’un bacqueux, tu mets pas la main dessus, toi, t’es fou
On a deux voitures sombres, on débarque à l’heure à ta putain de rendez-vous (Finder)

Dis-leur We Renoi, on sait très bien qu’ils mitonnent, qui reçoit des affaires, qui les donne
Rien qu’ils parlent de tonnes, tu les vois pper-cho des barrettes, wallahi, y a plus rien qui m’étonne
Là, j’reviens d’Ibiza, j’envoie les aff’ et j’repars à Tulum
J’crame pas ma gueule, mais t’auras la qualité full max avec la même meuj’
J’t’attends le lot au large sur un yacht, et j’mange des gambas, mmh, ouais
J’te laisse sur la côte, t’essayes de tirer des connasses, salope

Un saludo para todos, desde Jalisco, locos
Aquí arriba El señor de Los Gallos, el patrón Mencho
Puro cuatro letras, puro pa’delante, loco
Y seguimos creciendo, saludos, mi compa Lacrim