Lacrim, Ninho — Dadinho

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Hadouken
J’finissais mon joint sans mis-per, à l’époque, le Clio faisait que des
J’suis sortis à 20 heures, à 8 heures, désespérée, maman, maman t’cherche partout
J’rentrais la semaine d’après, refais d’la tête aux pieds
Cellophane sur mon cœur comme sur tous mes billets

Préparé au cas où ça tourne mal, j’ai garé le gamos, avenue des Champs
Préparé au cas où ça tourne mal, j’ai garé le gamos, avenue des Champs
Un bisous, une Kalash’, j’vais dormir, j’suis paro, j’la nettoie et j’roule un p’tit
Des bisous, des bisous à la Kalashnikov, j’suis paro, j’la nеttoie et j’roule un oint-j
J’connais biеn les pirates, j’connais la mer, j’connais bien la be-her, j’connais bien l’or
J’connais bien la be-her, j’connais bien l’or, la chimique, la chimique de Meuda
En Quechua, banalisé, pisté, analysé, personne va t’indiquer le chemin pour nous niquer
Tu sais
J’ai mon index sur le brolique , j’suis dans l’Audi, dans le 3 litres
Les fils de pute sont en panique , j’envoie la coke comme Napolitain
Mon nom écrit en italique sur le navire du Titanic
Mais c’est la plus belle des hispaniques, à la fin, il n’en restera qu’un
Des fils de p’ non déclarés font croire qu’tout est carré
T’inquiète, j’suis préparé, on n’a pas l’temps d’boire ton café
Tu l’sais
Aucun chef dans la cité, pas besoin d’publicité et personne va nous niquer
Qui va s’faire allumer ? Tu l’sais ?

J’finissais mon joint sans mis-per, à l’époque, le Clio faisait que des
J’suis sortis à 20 heures, à 8 heures, désespérée, maman, maman t’cherche partout
J’rentrais la semaine d’après, refais d’la tête aux pieds

J’voulais des carats, de l’or, des poissons, de quoi remplir tous mes sacs et se casser
Sans penser aux conséquences, des kilos d’pêchés dans le casier
Si on t’a raté, c’est la chance
La prochaine, c’est sur un pas d’dance, combien d’bonhommes pour nous, se sont déplacés ?
La juge nous prive de nos gosses, qu’au parloir que j’peux les enlacer
Ces fils de pute nous prennent même nos lacets
Et là, c’est grave, faut qu’j’brasse au max, j’suis cramé, moi
Alors parle-moi et j’tourne la page, petit frère fait belek aux pièges
Ne plaisante pas quand c’est le prix d’touche
Pour compter les billets couleur pistache, y a pas d’âge
T-MAX, casque en balade
Laisse-les parler d’oi-m quand j’suis pas là
J’m’endors avec une putain devant la télé, je donne pas mon cœur, ni une poignet de rouge
Et mon putain d’casier qui n’est pas déclaré, et quelques bons amis qui savent trouer le dos
Que du sah et que du précis, toujours prier dans la té-ci, Tony Montana du busy
On a dû niquer des mères pour du Versace dans le dressing, eh

J’finissais mon joint sans mis-per, à l’époque, le Clio faisait que des
J’suis sortis à 20 heures, à 8 heures, désespérée, maman, maman t’cherche partout
J’rentrais la semaine d’après, refais d’la tête aux pieds
Cellophane sur mon cœur comme sur tous mes billets
J’finissais mon joint sans mis-per, à l’époque, le Clio faisait que des
J’suis sortis à 20 heures, à 8 heures, désespérée, maman, maman t’cherche partout
J’rentrais la semaine d’après, refais d’la tête aux pieds
Cellophane sur mon cœur comme sur tous mes billets