Dtf — Atlas
Слушать Dtf — Atlas
Текст Dtf — Atlas
[Couplet 1 : RTI]
Ouais, j’ai la haine mais, pour le moment, j’reste seul dans ma folie
J’me balade dans la ville, j’fais les cent pas, j’crois bien que j’suis maudit
Et quand j’reviens dans la tess, j’en ai des souvenirs, flashbacks mélancoliques (oh, oh, oh)
Non, rien n’a changé, depuis tout ce temps, j’veux toujours m’acheter un bolide (ouais, ouais, ouais, ouais)
J’suis faya, ça veille tard (ah, ah)
J’pense à mes gars au shtar, insh’Allah, bientôt libérables (ah, ah)
J’me détends, un gros pétard et j’repense à c’qu’on a fait au final (c’qu’on a fait au final)
Entre le bien et le mal, j’te mens pas, j’divague sur le chemin (j’divague sur le chemin, j’divague sur le chemin)
J’suis pas là, j’suis pas là, j’me balade dans l’espace
S’faire balance par un reuf, wAllah, gros, ça fait mal
J’m’en tape, ouais, j’m’en tape de c’qu’ils peuvent penser de oim
J’suis pas là pour eux, j’suis là pour manger ma part
J’tire une taffe, la beuh m’fait tousser, elle m’a mis des baffes, j’arrive en douceur
J’tire une taffe, la beuh m’fait tousser, tu sais qui fait l’taf, on s’est faits tous seuls
[Pré-refrain : RKM]
J’ai pas eu d’grands choix dans la vie
Dans la misère, j’ai appris
Avec les cafards, j’ai grandi
Ouais, j’ai compris, j’veux l’monde à tout prix
J’vois au ralenti, igo, j’suis maudit
[Refrain RTI & RKM]
Ouais, j’ai la haine, j’ai la haine, mais j’souris
Toi, tu dis «mon frère» mais tu m’laisses dans la merde, comprends le fou rire
Et puis maint’nant, on s’dit que tout était mieux avant
Et j’me rappelle, toutes ces années d’galère, posé sur ce banc
Ouais, j’ai la haine, j’ai la haine, mais j’souris
Toi, tu dis «mon frère» mais tu m’laisses dans la merde, comprends le fou rire
Et puis maint’nant, on s’dit que tout était mieux avant
Et j’me rappelle, toutes ces années d’galère, posé sur ce banc
[Couplet 1 : RTI]
Ouais, j’ai la haine mais, pour le moment, j’reste seul dans ma folie
J’me balade dans la ville, j’fais les cent pas, j’crois bien que j’suis maudit
Et quand j’reviens dans la tess, j’en ai des souvenirs, flashbacks mélancoliques (oh, oh, oh)
Non, rien n’a changé, depuis tout ce temps, j’veux toujours m’acheter un bolide (ouais, ouais, ouais, ouais)
J’suis faya, ça veille tard (ah, ah)
J’pense à mes gars au shtar, insh’Allah, bientôt libérables (ah, ah)
J’me détends, un gros pétard et j’repense à c’qu’on a fait au final (c’qu’on a fait au final)
Entre le bien et le mal, j’te mens pas, j’divague sur le chemin (j’divague sur le chemin, j’divague sur le chemin)
J’suis pas là, j’suis pas là, j’me balade dans l’espace
S’faire balance par un reuf, wAllah, gros, ça fait mal
J’m’en tape, ouais, j’m’en tape de c’qu’ils peuvent penser de oim
J’suis pas là pour eux, j’suis là pour manger ma part
J’tire une taffe, la beuh m’fait tousser, elle m’a mis des baffes, j’arrive en douceur
J’tire une taffe, la beuh m’fait tousser, tu sais qui fait l’taf, on s’est faits tous seuls
[Couplet 2 : RKM]
Tu fais le dingue, j’ai mon flingue, benga, benga
1.8.5 dans mon cœur, dans ma tête, c’est Rebenga
Mon frère m’a dit : «vas jusqu’au bout, Taktak, t’es N’DA»
J’arrive, sourire aux lèvres, pourtant, j’ai l’air menaçant
J’comprends pas un mot, pourtant, j’aime bien son accent
Donc j’ai pris du recul
Amnésia, quand j’la fume, elle m’fait prendre de l’altitude
Et puis maint’nant, quand j’écris, j’prends des thunes
J’sors du stud’, j’reprends l’enclume
Sans l’savoir, igo, c’est ma verte que tu fumes (que tu fumes)
Comme d’habitude, encore un frérot qui gé-chan sur l’bitume (gé-chan sur l’bitume)
[Pré-refrain : RKM]
J’ai pas eu d’grands choix dans la vie
Dans la misère, j’ai appris
Avec les cafards, j’ai grandi
Ouais, j’ai compris, j’veux l’monde à tout prix
J’vois au ralenti, igo, j’suis maudit
[Refrain RTI & RKM]
Ouais, j’ai la haine, j’ai la haine, mais j’souris
Toi, tu dis «mon frère» mais tu m’laisses dans la merde, comprends le fou rire
Et puis maint’nant, on s’dit que tout était mieux avant
Et j’me rappelle, toutes ces années d’galère, posé sur ce banc
Ouais, j’ai la haine, j’ai la haine, mais j’souris
Toi, tu dis «mon frère» mais tu m’laisses dans la merde, comprends le fou rire
Et puis maint’nant, on s’dit que tout était mieux avant
Et j’me rappelle, toutes ces années d’galère, posé sur ce banc