Larry — Routine

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Ouais, ouais, ouais
Shu-ouh
Ah bah ouais Bersa
Ah bah ouais, ah bah ouais
Ah bah ouais, ah bah ouais (sk-sk-sk-skrt)
Berska, ouais, ouais, ouais (skrt)
Eh
Il trempera sa Audemars si c’est réel, on taffe, on croit en Dieu,
on n’a pas d’grigri
Je prends, je récupère, je revends, j’investis, le bonheur est dans mon veston,
le portefeuille plein
J’arrive, t’entends «beup-beup», le compét’ s’lève et «be-be-be-be-be-be-bep»,
les condés m’chassent
Mais, le crack, c’est grave comme ça porte la poisse, là-uic’ est mort,
il a fait un pète
Ils descendent du 6.400, les méchants, la nuit, pour nous passer les menottes
Tempête de pussy, ils tiendront pas une minute, chargé de coke, c’est les
démons de minuit
Sur la tête de pépé, c’est des fêlés, regarde-moi bizarre, ta femme le gros
bison

Plusieurs conquêtes, plusieurs méthodes (méthodes) mais jamais, j’vais leur
payer la dot (la dot)
Quand y avait pas, y avait pas, c’est mort, élever pour mordre et pour brasser
à mort
Regarde ces cons, ils m’ont jugé à tort, pour la peine, c’est tous dev’nu mes
p’tits (pa-paw)
Et j’me devais d’les baiser encore, on m’avait prévenu qu’ça parlerait à mort
Très peu présagaient l’ironie du sort, sur la tête de ma mère, ils sont verts
(shouh)
À la base, «c’est pas nous» comme on dit, pourquoi pas? On est tous les mêmes
hommes
J’devrais laisser richesse à mes p’tits et quitter la Terre comme les âmes
À la base, «c’est pas nous» comme on dit, pourquoi pas? On est tous les mêmes
hommes

J’devrais laisser richesse à mes p’tits et quitter la Terre comme les âmes
J’ai l’cerveau apaisé, j’me suis cassé l’crâne au jaune
Des nuits dans un studio, j’pense à la routine d’avant
Big up à ces flocos qui parlent mais qui lâchent le bang
Garde tes conseils, chauffe le banc
J’ai l’cerveau apaisé, j’me suis cassé l’crâne au jaune
Des nuits dans un studio, j’pense à la routine d’avant
Big up à ces flocos qui parlent mais qui lâchent le bang
Garde tes conseils, chauffe le banc
Tu crois qu’t’es chaud mais t’es pas d’dans, avant, c’était eux, maintenant,
moi, j’ai plus l’temps (brh, brh)
Et tes gars n’tiennent pas la mi-temps, un score ténébreux d’après les
commentaires
Deux teh, quatre teh, j’enfume l’atmosphère et on s’accroche à rien parce que
un jour, tout s’perd
J’aime quand elle prend les devants et quand j’lui lève les deux jambes
Montre pas tes faiblesses, c’est un handicap, ils s’en serviront pour tirer sur
toi
J’connais les vieux loups qui restent à l’affût et les nouveaux qui jouent de
la flûte
On m’a dit: «Travaille pour creuser l’écart, entre tes mains, elles sont
placées, les cartes
Profite de la vie, tu sais qu’elle est courte et sans même la draguer,
elle écarte»
Mon crew vient d’Alicante, j’veux plein d’sous et de plans C
J’ai plus b’soin d’manigancer, le doré, l’platine, en vrai
Mon crew vient d’Alicante, j’veux plein d’sous et de plans C
J’ai plus b’soin d’manigancer, le doré, l’platine, en vrai
J’ai l’cerveau apaisé, j’me suis cassé l’crâne au jaune
Des nuits dans un studio, j’pense à la routine d’avant
Big up à ces flocos qui parlent mais qui lâchent le bang
Garde tes conseils, chauffe le banc
J’ai l’cerveau apaisé, j’me suis cassé l’crâne au jaune
Des nuits dans un studio, j’pense à la routine d’avant
Big up à ces flocos qui parlent mais qui lâchent le bang
Garde tes conseils, chauffe le banc